Maria Hara

Violons

Issue d’une famille de musiciens, la violoniste japonaise Maria Hara a reçu très jeune l’enseignement de professeurs comme Gérard Poulet, Roland Daugareil, Alexis Galpérine et Kazuki Sawa. Après une licence en musique obtenue à l’Université des Beaux-Arts de Tokyo (2012), elle entre au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris où elle obtient un master de violon avec un mémoire sur L’Influence des compositeurs français dans les œuvres de Georges Enesco (2014). Passionnée par le répertoire du compositeur roumain, elle poursuit ses recherches en troisième cycle supérieur sur des œuvres peu connues avec le soutien de la fondation japonaise Rohm Music. Elle obtient le diplôme d’artiste interprète (2016). Elle se perfectionne ensuite dans des master classes auprès de Renaud Capuçon et Benjamin Schmid.
Depuis 2019, elle étudie l’écriture du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, et remporte un prix d’harmonie dans la classe de Fabien Waksman (2020). Elle étudie également la musicologie à la Sorbonne.

Elle remporte le premier prix au concours international de Roumanie (Tokyo 2009) et au concours Prix Ravel (France, 2015), et est demi-finaliste des concours Brahms (Autriche, 2011) et Lipizer (Italie, 2015).
Maria Hara se produit régulièrement en soliste. Au cours de sa carrière de concertiste, elle a interprété, entre autres, les concertos de Tchaïkovski, Prokofiev, Mendelssohn, Kurt Weil, Bach, Mozart, l’Introduction et le Rondo Capriccioso de Saint-Saëns, les Quatre Saisons de Vivaldi ou encore Shéhérazade de Rimski-Korsakov avec orchestre.
 
Maria Hara a enregistré deux albums consacrés à Enesco dont le Caprice Roumain avec l’Orchestre des lauréats du Conservatoire dirigé par Philippe Aïche en 2016. Seul enregistrement à ce jour de l’œuvre hors des frontières de Roumanie, il lui a permis d'être invitée au Symposium Enesco 2017 de Bucarest. Elle a également enregistré un album Jeunes Solistes consacré à des œuvres pour violon et piano aux côtés de Pierre Thibout en 2017, avec le soutien de la Fondation Meyer.

Maria Hara
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